Il faut donc accepter une autorisation d’exécution et posséder une version à jour de java pour rentrer sur le site.D’autre part lorsque l’on double clic sur la case d’un objet ou que l’on clic sur « en savoir plus sur cet objet », la fenêtre de description ne s’ouvre pas automatiquement d’elle même. Pour conclure, l'Histoire en tant que discipline scientifique ne sera jamais une science fondée sur les moteurs de recherches mais ceux-ci en sont dès aujourd'hui un usage systématique. Le retour du capitaine Cyber. C'est une progression et celle-ci se fait en même temps que ses moyen de diffusions : du livre à l'internet en passant par la télévision et la photographie.
Ces fonctionnalités transitent via les appareils GPS (Le GPS est l’émanation d’un système de navigation par satellite. L'historien perd sa position d'autorité unique. Christian Jutten. Ou encore H-BOT qui répond aux questions simples qui lui sont demandées mais il a des limites : il ne peut répondre aux questions avec « qui est-ce qui? Ce sont en effet des outils de Mind/Concept-mapping.Le site que j’ai choisi de développer après différents tests est bubbl.us. La première vertu de cet exercice est qu’elle force à mettre des mots sur des réflexions encore mal formulées, sa visibilité publique exigeant une certaine rigueur qui va au-delà d’une simple prise de notes ou d’un bref exposé de faits. Plus que jamais, les possibilités permises par le numérique amènent l’historien à remettre en question les fondements même de son métier, à savoir l’articulation de ses sources autour d’un récit historique, encore majoritairement textuel. En ce qui concerne les questions numériques, c’est le signe d’une difficulté à qualifier ce qui se passe, à circonscrire l’intensité des changements qui nous affectent. L’utilisation du Hashtag (Histnum) a rendu plus facile l’accès aux tweets en les affichant directement sur le blog du séminaire ce qui évite de se rendre à chaque fois sur Twitter pour consulter les tweets en rapport avec ce cours.Le test de ces nombreux outils a permis d’abord évidemment de les découvrir alors que pour la plupart d’entre eux je ne les connaissait pas. Afin d’augmenter les connaissances historiques actuelles, ces données extraites et analysées sont ensuite placées à côté de l’Avec l’apparition du Web 2.0, la numérisation massive, la réécriture numérique et la mise en réseau de la plupart des corpus de sources utiles à la recherche tendent aujourd’hui à devenir eux-mêmes des sources primaires pour l’historienToujours dans cette idée de démocratisation du savoir, on développe de nouvelles méthodes et cela à travers les applications La nature collaborative et interdisciplinaire de la plupart des projets d'histoire numériques a pour conséquence que ces approches se développent principalement dans des établissements qui détiennent les ressources nécessaires pour financer la recherche de contenu et l'innovation technique. C'est un outil qui permet de poser des questions de manières asynchrones, ce qui rend possible de les résoudre à travers un collectif de personnes. Partir des nécessités de son étude pour y chercher une réponse à travers le numérique constitue une solution possible. Elle relève d’une conscience stratégique de plus en plus pointue. Au début, l'histoire numérique consistait surtout en un développement des méthodes quantitatives, en particulier en tirant profit de données démographiques, recensements, résultats de scrutins, etc. Au cours de ce séminaire, nous avons précisément mis le doigt sur l’urgence à ce que le chercheur s’investisse davantage au sein de cet espace en passant d’une utilisation et d’une appropriation passives à une adaptation en fonction de ses propres exigences scientifiques. Pour celles et ceux qui voudraient regarder le 14 février sous un autre angle que celui que certains jugent « mercantile » ou « convenu », ce jour est avant tout… le 45Le 14 février est une date qui marque un nouveau mode de partage et de circulation de l’information. L’héritage de Fourier, 250 ans après. Je reste pour ma part encore dubitative sur une disparition totale des mots dans le récit et les quelques tentatives ne donnant à voir que des éléments visuels n’ont à mon avis pas donné de résultats très probants.
L'histoire à l'ère numérique est une nouvelle version de la pratique historienne.