Elle été "signée" et "très claire", a assuré le Premier ministre irakien démissionnaire Adel Abdel Mahdi.Elle évoque un "repositionnement des forces (...) pour s'assurer que le retrait d'Irak est mené de manière sécurisée et efficace", affirmant que les déplacements nocturnes d'hélicoptères vont s'intensifier à Bagdad.Les Canadiens et les Allemands --membres de la coalition anti-EI-- ont annoncé mardi avoir transféré ou qu'ils allaient transférer des soldats vers la Car, explique un diplomate européen à l'AFP, "si les Américains partent, nos troupes ne pourront pas rester", tant ce contingent est vital pour sécuriser l'ensemble des troupes de la coalition.M. L'annonce puis le démenti d'un retrait des troupes américaines d'Irak rend la stratégie militaire des Etats-Unis dans ce pays quasi-illisible.
Combien de temps une guerre d’usure entre l’Iran et les forces militaires américaines en Irak pourrait-elle durer ? Irak : La base militaire américaine de Taji visée par de nouvelles roquettes. Elles avaient une nouvelle fois dénoncé « les forces d’occupation américaines ».Dans la nuit de jeudi à vendredi, des frappes américaines de représailles ont eu lieu, visant selon Washington des bases des brigades du Ce cycle de violences fait de nouveau planer le spectre d’une escalade dangereuse en Irak. Abdel Mahdi a lui de nouveau signifié à l'ambassadeur américain Matthew Tueller et au chef de l'Otan Jens Stoltenberg qu'il souhaitait le départ des troupes étrangères, comme le Parlement l'a voté dimanche.La France, de son côté, n'a "pas l'intention" de retirer d'Irak ses militaires envoyés pour des missions de formation --160 hommes--, a indiqué mardi une source gouvernementale.Lors d'un entretien téléphonique avec son homologue iranien Hassan Rohani, le président français Emmanuel Macron a "rappelé l'attachement de la France à la souveraineté et la sécurité de l'Irak" qui "doivent être renforcées par la présence sur son sol de la coalition internationale dont l'unique objectif est la lutte contre Daech", acronyme désignant le groupe Etat islamique (EI).Des milliers de soldats étrangers sont déployés dans des bases irakiennes à travers le pays au titre de la lutte contre l'EI.En 2014, alors que les jihadistes s'emparaient d'un tiers de l'Irak et de larges pans de la Syrie, le ministre des Affaires étrangères irakien avait envoyé une lettre au Conseil de sécurité de l'ONU pour réclamer de l'aide.La coalition --formée de 76 Etats-- avait alors envoyé des soldats et des instructeurs pour appuyer et former les forces irakiennes.Ce déploiement avait donc été effectué à la demande du gouvernement, et n'a jamais fait l'objet d'un texte ratifié au Parlement.Il n'existe pas d'accord détaillé, comme le "Status of Forces Agreement" de 2008 qui autorisait la présence de troupes américaines jusqu'au retrait de 2011.D'autres forces étrangères participent à la mission de formation de l'Otan lancée fin 2018.Cette organisation a annoncé mardi le retrait temporaire d'une partie de son personnel d'Irak, après avoir déjà suspendu sa mission de formation des forces irakiennes.Le plus gros contingent de la coalition est américain (5.200 soldats). La lettre, authentique, aurait été envoyée par Le commandement militaire a envoyé une lettre annonçant un redéploiement de ses soldats en vue d’un retrait. L'annonce puis le démenti d'un retrait des troupes américaines d'Une seule chose est sûre après le cafouillage de lundi soir autour d'une lettre envoyée aux Irakiens puis présentée comme un "brouillon": l'option d'un départ des Américains, qui s'étaient déjà retirés en 2011 après huit ans d'occupation, est sur la table.Un haut responsable militaire américain a détaillé auprès de l'Cela prendra "des semaines" mais, si le contexte devenait critique, les opérations pourraient être bouclées "en plusieurs jours".Des avions-cargo transporteront les équipements par les airs, tandis que les troupes au sol prendront la route vers le sud et le Ensuite, il faudra "étudier les routes terrestres et les plans d'évacuation pour les soldats, les civils et les sous-traitants" qui les accompagnent, explique à l'AFP Jack Watling, du Royal United Services Institute.
Fin 2019, des tirs de roquette ayant tué un Américain ont dégénéré et mené à l’assassinat en janvier par Washington du général iranien Opération américaine de représailles en Irak après les tirs de roquettesDeux soldats américain et britannique et un civil tués en IrakLe Premier ministre irakien désigné renonce à former un gouvernementLa fréquentation de 20 Minutes est certifiée par l’ACPM Classement Guerre Dates Morts Morts par jour Pop. Des centaines d'autres ont été déposés sur la base de Taji, au nord de Bagdad.07/01/2020 19:12:53 - À en juger par l’écart entre les déclarations du président Donald Trump et ses actes, il semble que l’Iran ait encore suffisamment de temps pour jouer dans l’arène irakienne. Bagdad (AFP) - Le Pentagone a démenti cette décision dans la foulée. "Et décider quels équipements et documents seront emportés, abandonnés ou détruits".La lettre adressée lundi soir aux Irakiens par le général William H. Seely, commandant des opérations militaires américaines dans le pays, donne des indications. Il est déployé sur plusieurs bases dont la plus grande est la base aérienne d'Aïn al-Assad (ouest), ainsi que dans la capitale du Kurdistan irakien, Erbil, et à Bagdad, près de l'ambassade américaine.La coalition compte entre autres 400 soldats britanniques, 200 français et 120 allemands, ainsi que des milliers de sous-traitants civils.Le nombre de soldats américains a toutefois varié ces derniers jours, alors que Washington annonçait jusqu'à 4.000 soldats supplémentaires en Irak et aux alentours, sur fond de tension avec l'Iran.Au moins 150 soldats américains supplémentaires sont arrivés la semaine dernière à Bagdad pour protéger l'ambassade américaine après une attaque inédite par les pro-Iran.