La face nord de la Meije par le couloir du Z (voie du Z) est gravie par Maurice Fourastier et Casimir Rodier en 1933. La Meije est une source d'inspiration du compositeur Les glaciers de La Meije en septembre 1950 en aval du Les glaciers de La Meije le 30 juillet 2012 depuis un angle de vue similaire : en hachuré rouge les parties disparues.Ce nom occitan a été francisé pendant les révisions de Cette phase actuelle de régression peut être expliquée soit par le simple effet du Deux refuges permettent d'accéder aux différents sommets de la Meije : En 1935, Pierre Allain et Raymond Leininger tracent la directissime à la face sud du Grand pic. Apartment facing La Meije and glaciers - Brigitte Pic, a property with a terrace, is located in La Grave, 4.5 miles from Glaciers de la Meije Cable Car. Enfin, le tour de ce massif constitue certainement le raid à ski le plus parcouru du massif.
Le premier relais de rappel se trouve ~5m sous un relais sur sangles bien visible du sommet.Cheminement à chercher. Encore un itinéraire de grande classe en Meije! On peut notamment citer : Traverser une vire à main droite pour rejoindre les rappels de la muraille Castelneau. Dans l'histoire de l'alpinisme, La Meije occupe une place particulière : ce fut le dernier sommet majeur des Alpes à être gravi, après dix-sept tentatives menées entre 1870 et 1877Pour ces raisons et aussi grâce à l'esthétique de sa silhouette remarquable (qualifiée de « parfaitement dissymétrique » par le compositeur La première ascension du Grand pic fut effectuée le La première ascension sans bivouac et en moins de vingt-quatre heures a été réalisée en 1883 par les pyrénéistes La première traversée des arêtes de la Meije a été faite dans le sens est-ouest (du Doigt de Dieu au Grand pic) le Par extension, on appelle « les vallons de la Meije » le domaine skiable original du village de La Meije est un objectif de choix pour les alpinistes et on y dénombre de multiples itinéraires dans des styles très variésL'ascension se fait généralement par l'arête Sud du PromontoireLa face Sud de la Meije est également le lieu de nombreuses voies rocheuses pour les amateurs d'escalade. On remonte ensuite un large couloir vers la gauche pour rejoindre l’arête rocheuse issue du sommet, que l’on remonte.Franchir la rimaye (plutôt à droite ces derniers temps) puis remonter une pente de neige pour atteindre des rochers. -La Meije a été le dernier sommet majeur des Alpes à être gravi. Ma denière incursion dans la face N de la Meije remonte à 1997, quand j’ai fait le couloir en Z. Ca commence à dater… A cette date, la configuration de la face était « stabilisée », puisque les dernières voies ouvertes remontaient à 1994 (les deux voies de mixte de Christophe Moulin dans la face nord … Relais sur une petite marche.L4 : Franchir le surplomb situé immédiatement au dessus du relais, puis continuer la fissure jusqu’à une petite vire, 6a ou A0, nombreux pitons, 15 m.L5 : continuer plus facilement sur 10 m puis remonter un couloir en ascendance à gauche fermé par un bloc coincé, que l’on franchit, 4.L6 : remonter des dalles droit, pour faire un relais sous une frange surplombante, 4.L7 : traverser à droite puis remonter un dièdre, puis des dalles, 5.L8 : remonter des dalles compactes jusqu’au sommet, 4+.Du sommet, descendre à la Brèche Zsigmondy en 3 rappels (40m, 40m, 30m).
La première ascension du Grand Pic fut effectuée le 16 août 1877 par Emmanuel Boileau de Castelnau avec Pierre Gaspard et fils. On peut aussi passer sur le fil de l’arête, en grimpant un dièdre (5+), puis à gauche du fil.On se trouve au pied d’un grand dièdre raide (juste à droite du fil), que l’on emprunte sur 2 longueurs.L3 : Remonter des dalles compactes puis le dièdre proprement dit, 5/5+ , pitons en place, 25 m environ. On rejoint le large couloir par quelques pas à 65°.Remonter ce couloir droit puis vers la gauche pour rejoindre une arête (jonction avec la directe) : la Vigie Centrale.L1 et L2 : Monter en ascendance à droite pour rejoindre une cheminée que l’on remonte jusqu’à l’arête : la Petite Vigie. Un « Z » signé Maurice Fourastier et Casimir Rodier en 1933.
Le Grand pic est un des sommets les plus difficiles des Alpes car il n'existe pas d'itinéraire « facile ».