Une technologie de rupture (dite aussi rupture d'innovation ou technologique rupture) est une innovationtechnologique qui porte sur un produit ou un service et qui finit par remplacer une technologie dominante sur un marché. Cette disparition de la technologie existante se fera bien que la technologie de rupture soit radicalement différente et qu’elle soit souvent moins performante à l’origine selon les critères traditionnels de mesure. Pour changer, un acteur existant doit non seulement investir dans la nouvelle technologie mais également remplacer ses infrastructures existantes (les couts de démantèlement peuvent être importants). Ce changement radical bouleverse le marché et fait de l’initiateur de l’innovation la référence à suivre 2. Par exemple, pour savoir si la « carte à puces » est une innovation de rupture, il ne faut donc … それと、日本に情熱を注ぎます。[…] travaux de Clayton Christensen sur l'innovation de rupture présentent trois avantages majeurs à l'organisation modulaire et c'est en effet ce qui […]Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. L’idée est la suivante : si vous êtes une grande entreprise avec un énorme marché « à vos pieds », ce n’est pas la peine de risquer de tout perdre avec des innovations mirobolantes. Le problème est que la plupart des organisations vont rejeter les innovations s’adressant aux besoins futurs, justement parce que les clients n’en ont pas besoin aujourd’hui et qu’elles ne se vendront donc pas immédiatement.Parmi les exemples (récents ou pas) de technologies de rupture, citons :Ces évolutions technologiques ne suffisent pas en elles-mêmes pour être qualifiées d’innovations. Cette vision peut également amener à surestimer le caractère technologique de l’innovation de rupture.Parler d’innovation de rupture impose que quelque chose rompe. L’innovation disruptive rompt avec le modèle du secteur. Tout le monde parle de l’importance de l’innovation dans les affaires, non seulement en ce qui concerne la création de nouveaux produits et services, mais aussi l’utilisation de nouveaux matériaux, sources d’énergie et Mais quand vous parlez de la théorie de l’innovation de rupture, il semble que les gens soient plus exaltés et curieux, comme si quelque chose de génial allait surgir tout d’un coup.Afin de vous dévoiler les mystères et les secrets de cette théorie, nous sommes allés chercher pour vous une animation intéressante créée par laLa théorie de l’innovation de rupture a été développée par le professeurL’idée est la suivante : si vous êtes une grande entreprise avec un énorme marché « à vos pieds », ce n’est pas la peine de risquer de tout perdre avec des innovations mirobolantes. Les internautes pouvaient déjà produire leur contenu (créer un site internet, des espaces personnalisés sur des sites comme MySpace, …) mais de nouvelles possibilités leur ont été offertes, qui répondaient à un besoin (contact, lien social, narcissisme, …) et étaient valorisées par une ergonomie très balisée (simplicité d’usage).Il est donc tout à fait possible d’envisager une innovation de rupture sans rupture technologique. Il peut être plus intéressant d’amortir les investissements déjà réalisés tandis que la technologie décline. Souvent on l’oppose à « l’innovation incrémentale » et, en faisant cela, on n’est pas forcément beaucoup avancé car on donne l’impression qu’il s’agit simplement d’une « grosse innovation incrémentale ». Quand elles ont entrepris une innovation de rupture, elles se sont mises à produire des plaques en acier, reprenant de larges parts de marché appartenant originalement aux grandes usines (Large Mills).Autre exemple : les constructeurs automobiles asiatiques tels que Toyota et Hyundai, qui ont débuté avec des modèles compacts et bon marchés, ont par la suite commencé à intégrer le luxe avec des marques glamours l’emportant sur les grands fabricants traditionnels et obligeant ceux-ci à réagir pour y faire face.Selon Christensen, ces grandes entreprises sont très bureaucratiques et lentes vis-à-vis de l’innovation. Parler d’innovation de rupture impose que quelque chose rompe. Ces entreprises finiront par se faire dépasser et par péricliter sauf si elles parviennent à anticiper les besoins futurs de leurs clients. Il faut se départir complètement de l’idée que l’innovation de rupture a forcément son origine dans la recherche et ses résultats, dans les ingénieurs et les avancées technologiques.