C’est ce qu’est réellement le socialisme : le passage de l’humanité « du règne de la nécessité au règne de la liberté » (Engels).Mais d’un autre côté, la réalité semble se moquer de ces rêves. Est-ce qu’ils ont dit : « Laissons les forces du marché décider » ? La souffrance humaine est omniprésente. Le scientifique américain Mark Buchanan a écrit un livre très intéressant intitulé Toutes ces choses semblent n’avoir aucun rapport entre elles, mais elles sont soumises à la même loi, qui peut être exprimée par une équation mathématique connue sous le nom de loi de puissance. Il n’y aurait pas non plus de progrès, qui serait un concept démodé, hérité du XIXCette négation du progrès dans l’histoire est caractéristique de la psychologie de la bourgeoisie dans la phase du déclin du capitalisme. Une nouvelle crise se prépare à l’échelle mondiale. Ce n’est plus le cas.La sécurité de l’emploi a cessé d’exister, beaucoup de professions du passé ont disparu et l’emploi à vie n’est plus la règle, mais l’exception.
Sous le féodalisme, le pouvoir économique reposait sur la propriété de la terre. Mais cela s’est avéré impossible à cause de son travail sur Engels envisagea d’écrire le livre sur la philosophie que son ami n’avait pu produire. De même, les marxistes feront tout leur possible pour développer l’analyse la plus scientifique du processus social, afin d’être capables d’en influencer l’issue. De ce point de vue, elle représentait une véritable révolution en philosophie.
Ce pouvoir était du même type que celui de la Commune de Paris de 1871.Il est vrai que dans un contexte d’extrême arriération économique et culturelle, de pauvreté et d’illettrisme, la classe ouvrière russe fut incapable de conserver le pouvoir qu’elle avait conquis. Leur vérité limitée devient fausse.Du point de vue du matérialisme dialectique, l’univers matériel n’a ni commencement ni fin. Les relations sociales réelles apparaissaient sous un aspect déformé. Non, ce n’est pas vrai.
Étienne Balibar est une des plus grandes figures internationales de ce qu'on a parfois appelé « post-marxisme ». Toute la doctrine de Hegel était basée sur l’idée d’un changement et d’un développement constants à travers des contradictions. S’imaginer que l’espèce humaine est incapable de découvrir une alternative viable à ce système pourri, corrompu, dégénéré, est franchement une insulte à l’humanité.Est-il vrai qu’il n’y a pas d’alternative au capitalisme ?
On peut donner des exemples à volonté : si l’on rafraîchit une substance telle que le plomb ou le niobium, il y a une réduction graduelle de sa résistance électrique, et ce jusqu’à une température critique (en général quelques degrés au-dessus de -273 °C). À l’origine, il avait un caractère religieux et se confondait avec le pouvoir de la caste des prêtres.
De fait, ce sont ces événements, ces guerres et ces révolutions, qui constituent la principale force motrice du développement historique. En minant la demande, on réduit davantage le marché, et donc on aggrave la crise de surproduction.Quoi que disent les politiciens sur la nécessité de résorber les déficits, les dettes qui ont été contractées ne Quelques sophistes demandent : si le socialisme est « inévitable », pourquoi devrait-on lutter pour qu’il advienne ? Cependant, même cette « solution » n’en est plus une.C’est un fait indéniable que les banques et les gros monopoles dépendent désormais des États pour leur survie. Mais ces choses n’existaient même pas en imagination du vivant de Marx.
Malgré l’importance de ce sujet, il n’y a pas un seul livre de Marx et Engels qui le traite de manière exhaustive. Mais l’essor de la manufacture et du commerce a fait de l’Argent une source de pouvoir toujours plus importante.
La théorie et la pratique se réconcilient. Marx écrivait : Les théories économiques du monétarisme – la Bible du néo-libéralisme – furent résumées par John Kenneth Galbraith de la manière suivante : Une toute petite minorité possède des richesses obscènes, pendant que la part des travailleurs dans le revenu national est constamment réduite et que les plus pauvres sombrent dans une misère toujours plus profonde. Ils combattaient sous le drapeau de la Liberté, de l’Égalité et de la Fraternité, dans le but de mobiliser les masses plébéiennes et semi-prolétariennes contre l’aristocratie féodale et la monarchie.Bien avant de faire tomber les redoutables murs de la Bastille, la bourgeoisie révolutionnaire avait renversé les murs invisibles, mais non moins formidables, de l’Église et de la religion. À ce point précis, toute résistance disparaît soudainement. En réalité, il n’y a pas de nature humaine supra-historique. Ce comportement altruiste est tout à fait spontané et vient d’un instinct de solidarité profondément enraciné. Toute personne intelligente comprend que le libre développement des forces productives exige l’unification des économies de tous les pays sur la base d’un plan commun. https://www.marxiste.org/theorie/philosophie/928-les-idees-de-karl-marx Au cours des deux derniers siècles, le capitalisme a développé une puissance productive colossale.