dominique bathenay et sa femme

Justin Bieber Connaître les familles des joueurs, les enfants, les femmes. J’ai toujours aimé jouer à tous les postes. Il m’a appelé d’ailleurs, pour jouer ce soir, mais comme c’est les fêtes, je ne veux pas me blesser.Ah, c’est une question, ça… je suis revenu, au départ, pour m’occuper du club de Choisy-le-Roi.

C’était bon enfant. J’avais un peu peur, mais j’étais surtout assez satisfait. Après, les entraîneurs font des choix.Oui, peut-être qu’il a voulu rééquilibrer. Je pense que je me suis blessé ce jour-là.C’est très français, ça. Dans le vestiaire, comment vous vivez le fait que PSG soit capable de faire signer Niederbacher plutôt qu’Elkjaer Larsen, surtout après l’Euro 84 de Larsen ?Nous, comme supporters, on a toujours l’impression d’être les seuls à faire n’importe quoi…Il y a eu une époque où Canal +, propriétaire du club, payait les Guignols qui nous dégueulaient dessus tous les soirs.Vous vous y étiez préparé, à être costaud, au regard du contexte ?Sur toute votre carrière, quelles relations avez-vous eues avec la presse ?Depuis 1985, globalement, vous suivez plus les résultats de Saint-Etienne ou de PSG ?Vous préférez le PSG Canal + des années 90 ou celui des Qataris depuis 2011 ?PSG, le club, vous contacte des fois, pour des rassemblements, des choses comme ça ?C’est une chose que nous nous disons souvent : incroyable que des joueurs comme Dahleb, Sušić, n’aient pas plus de reconnaissance, d’existence dans l’histoire du club. Tous ces trucs à polémiques, ça sert à rien… ça sert à rien. C’était un charmeur, vraiment. Après, il y a eu des discussions… Et comme toujours, celui qui est déjà dans la maison, on pense qu’il est bien gentil et va rester à sa place… « Mais oui, mais… Saint-Etienne, il y a eu une période où ils ont commencé à gagner beaucoup d’argent. Il y en a encore qui fument.A Sainté, on était quatre à fumer.

Un des joueurs que je préférais.Ça n’empêche rien (rires). Au bout de cinq minutes, j’ai reconnu la Ford escort de mon beau-père qui roulait vers nous. Si les joueurs avaient entendu la moitié de ce qu’ils disaient d’eux, ils les auraient mis au placard.

A Saint-Etienne, plusieurs joueurs sont partis en 1978. Ailier gauche, latéral, stoppeur… Mais j’étais un défenseur assez offensif.Non, Mustapha Dahleb le portait. Il faisait le forcing pour que je vienne.Oui. Sinon, une photo, elle va sur les réseaux sociaux, etc. Les joueurs ont tendance à squeezer le coach.Ouais, mais si Nasser lui répond, va d’abord voir ton coach, pour les question de foot, vois avec ton entraîneur…Je ne sais pas. Je pense que c’est exagéré, mais c’est vrai que quand on est jeune et qu’on arrive dans une équipe, il y a des piliers… vers lesquels aussi on se tourne quand ça va moins bien. Beaucoup.Vous savez, j’avais des amis qui avaient une affaire d’hôtellerie à Cuba. Décédé en 1970, André Raimbourg, dit Bourvil, a eu, avec son épouse Jeanne, deux fils : Dominique et Philippe.

Alors celle-là, je l’ai appréciée. Il n’y avait aucun problème lié à la starification de Rocheteau avec les autres joueurs.Ouais.

Il n’était peut-être pas fait pour jouer à Paris, mais c’était un bon joueur ! Dahleb. Il se dispersait quand même pas mal.Fin de contrat, oui.

On ne se disait pas grand chose (rires). Il n’y a pas si longtemps, on fumait partout, dans les bus, les avions… mais c’est compliqué pour les joueurs aujourd’hui, ils sont traqués, filmés tout le temps. Une autre où il pose avec mon livre.

Il s’en fout. Parce qu’il nous avait apporté énormément. Maintenant, c’est compliqué pour les joueurs. Microsoft est susceptible de recevoir des commissions si vous réalisez un achat après avoir cliqué sur un lien de cet article. J’avais peut-être aussi un caractère qui faisait que les gens venaient facilement vers moi.

Mais c’était Paris, donc… Vu de province, on monte à la capitale, pour jouer dans le club des riches.Non. Je ne demande pas qu’on adule nos joueurs, mais un peu de respect pour ceux qui ont apporté.Oui. Il faisait tout mieux que les autres. Être capitaine, c’est être là quand ça ne va pas bien. Pour un entraîneur, le patron, c’est le président, alors il est normal d’échanger.Paris engageait des joueurs, on parlait des contrats. Faire le lien entre les joueurs, l’entraîneur et le club. Stars Il y en a avec qui on le fait plus qu’avec d’autres aussi… C’est un rite de passage. Du petit club où je jouais ! C’est pas bien, c’est pas bon pour la santé, tout ce qu’on veut. Les Marseillais Elle s'occupe d'une main de maître, avec moi, de tout.

Un autre jour, on a fait un petit match, 4 contre 4. Pourvu que ma mère tienne bon. Ça se voit. People US

Au milieu des années 70, il est aussi indispensable aux multiples champions de France Verts qu’aux renaissants Bleus de Platini, dans un rôle assez moderne de 6 qui se projette. (rires) C’est quelqu’un que j’aimais beaucoup.Oui, mais c’est surtout de son entraîneur qu’il faut être proche. C'est plutôt rigolo. Voyez Dembélé à Barcelone, il est en retard, il fait des conneries, mais ils le font jouer, parce qu’il a du talent et qu’on ne se prive pas de talent. Le temps que tout se remette en place, que tout revienne, Michel Hidalgo m’emmène en Argentine. Est-ce que je suis moins bon, est-ce que ceci… on a l’impression qu’il faut tout faire.

J’aime bien Marquinhos. Il faisait tout mieux que les autres. C’est dommage, il aurait apporté énormément.Très très fort. Alvès, bon, il n’a pas beaucoup joué. Avec eux, vous êtes les premières vraies vedettes du Parc.