bulletin cour de cassation chambre sociale

Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°06 juin 2008 (pdf - 1.7 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°07 juillet-septembre 2008 (pdf - 2 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°08 octobre 2008 (pdf - 1.5 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°09 novembre 2008 (pdf - 3.8 Mo )

Cour de Cassation Chambre sociale Audience publique du 13 novembre 2001 N° de pourvoi: 99-43016 Publié au bulletin Le point de vue des avocats : Président : Président : M. Sargos . r�]�f����Ӎ$�������z��~�off��"A��9�MaF^�c�^v��q�M��SRHY���Ac�g��UL˘,/4}NI���(�%��o��L���2���L��tf�gϬ�RA��o�$��q��3|S�1N��ͪ>�)�����|^�Đ�r-8��H$� %�" �`�a���`�R8Bq|a,�נuR$�O���B�5�Q������lm�(�,���U��Ʒi0��F�$E�>�4�L b�h�}��I�ܓ���bJ�K[��"��\�AQ��nj�$2E�-�����[>rLB2 �h"� Cour de Cassation, Chambre sociale, du 4 juillet 1984, 83-12.559, Publié au bulletin. Traditionnellement intégrée au Rapport d’activité de la Cour, l’Étude fait l’objet, depuis 2017, d’une publication annuelle autonome, à La Documentation française.

© Copyright Cour de cassation - Design Publicis Technology 4 0 obj ���o{�@�� En application de l’article 1014, alinéa 2, du code de procédure civile, il n’y a pas lieu de statuer par une décision spécialement motivée sur ce moyen qui n’est manifestement pas de nature à entraîner la cassation.4. Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mardi 17 octobre 2000 N° de pourvoi: 98-42264 Publié au bulletin Cassation. Le stream En application de ce texte tout jugement doit être motivé.10. Cour de cassation, Chambre sociale, 12 septembre 2018, 17-10.307, Publié au bulletin, société CGSI c/ Pôle emploi Ile-de-France Décision attaquée : Cour d'appel de Versailles, 9 novembre 2016 | Dispositif : Cassation partielle %PDF-1.3 Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°06 juin 2008 (pdf - 1.7 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°07 juillet-septembre 2008 (pdf - 2 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°08 octobre 2008 (pdf - 1.5 Mo ) Bulletin des Arrêts Chambres civiles N°09 novembre 2008 (pdf - 3.8 Mo ) ّ�d.�GJ������q���~"o�gΒ�}�< �#��Qȷcۂ��ʭ3p�ē�/�t/\�O�K�%���s�CM�xd�t�Xh�7-)�b���}?i[/�:rc��0Zx��i��r�f �(a�t�#�BL��� ZȇIB�Α֔��w�iy�����F��$�����Ҹ��`�!��6בL��~qp_��鄾IJ��M]"{O�a��Ɉu���+N��I���db��o?��JL�`��),�4U]��!���E�L��f�?��u�{|]��7�֠X3�8�!��cH2�����$Ɛi��ԃ6 �G Arrêt n°713 du 08 juillet 2020 (18-23.410) - Cour de cassation - Chambre sociale - ECLI:FR:CCASS:2020:SO00713 Contrat de travail, exécution Sous réserve d’exercer son office dans les conditions qui précèdent, le juge apprécie souverainement si le salarié établit des faits qui permettent de présumer l’existence d’un harcèlement et si l’employeur prouve que les agissements invoqués sont étrangers à tout harcèlement.6.

Les salariés font grief à l’arrêt de dire que Mme I... n’a pas subi de harcèlement sexuel et de la débouter de ses demandes au titre de la nullité du licenciement et des indemnités afférentes ainsi qu’à titre de dommages-intérêts en réparation du préjudice subi, alors Vu les articles L. 1153-1 et L. 1154-1 du code du travail :5. HP�쾸de3�Y�c���>�����4����I@���:����tp��::�޶��0' Les salariés ont été licenciés pour faute grave par lettres du 14 mars 2014.2. En se déterminant ainsi, alors que la salariée soutenait que son supérieur hiérarchique avait reconnu avoir été entreprenant à son égard et que l’employeur avait sanctionné ce dernier par un avertissement pour comportement inapproprié vis à vis de sa subordonnée, la cour d’appel, qui n’a pas pris en considération tous les éléments présentés par la salariée, n’a pas donné de base légale à sa décision. Note. ]�.Z�qΣ}��b)��CR��x3�����"��:_d����~��������_8��G>�v�g��NQJP�c�����������^��*M���^�v�2�7��U��:i�`�T�1i����-��L����=2��V�Z�/HL�T����h�f�"�cMG[�rő������*߽G�3�~����̏bV�I�l�~��=�?9�.��q.� 1. >�ǐ�QK/|��%M��ˇ��3M�$O@��Ud��\��� Z�{������v|管OZQk��׹g�����˅��Y�Y���}a.7�L��A��_v]T�/�j��x5��(Q���6 �����8q��黰ob�������$H"��FS�\M�GD#GDn���������G?`)9���^4y6Tt f��z:z ���$w�'� )o�cE��i��0�{4��{�x�7��� B-�`���$+nd�D-�XG�1��ˊ�~���?�� ���^�e���p�҆O� 5t\o�C���_@�G\We�С��C�e�ނ� el�1��5z���R����"�ͺ�9����P;-ƘR+ֵ���'��~� F:6�8�N�@�r� . FS.P+B+R+I16-12.007 ; 16-12.009 à 16-12.058 ; 16-12.060 à 16-12.077 Le salarié fait grief à l’arrêt de le débouter de ces chefs de demande, alors : « 9. Pour dire le licenciement du salarié fondé sur une faute grave, l’arrêt retient qu’il n’est pas contesté que Mme I... a demandé à M. P... de lui confectionner deux garde-corps à l’aide de matériaux appartenant à l’entreprise, qu’il ressort des attestations produites que les salariés désireux de faire usage personnel des rebuts de l’entreprise sollicitaient l’autorisation de leur supérieur hiérarchique, que M. P... n’établit pas avoir sollicité ni obtenu oralement du supérieur hiérarchique de Mme I... une telle autorisation, que l’attitude du salarié ayant subtilisé le matériel de l’entreprise ne permettait pas le maintien de son contrat de travail.11. Dans l’affirmative, il revient au juge d’apprécier si l’employeur prouve que les agissements invoqués ne sont pas constitutifs d’un tel harcèlement et que ses décisions sont justifiées par des éléments objectifs étrangers à tout harcèlement. Pour dire que la salariée n’a pas subi de harcèlement sexuel et la débouter de ses demandes à titre de dommages-intérêts pour harcèlement sexuel et au titre de la nullité du licenciement et des indemnités afférentes, l’arrêt retient que les éléments présentés par l’intéressée, considérés dans leur ensemble, s’ils constituent un comportement inadapté sur le lieu de travail, ne laissent pas présumer l’existence d’un harcèlement sexuel.7. << /Length 5 0 R /Filter /FlateDecode >> Tous les arrêts postérieurs ’publiés’ (’P’) sont disponibles via l’onglet "Jurisprudence", dans la rubrique "Bulletin numérique des arrêts publiés des chambres civiles"Bulletin des arrêts de la chambre criminelle